En tout cas, je l'ai encore dit vendredi dernier, nous ne sommes pas des grands adeptes du 49.3 qui, d'une certaine façon, est le signe d'un échec collectif.
Venons-en au fond.
S'agissant de ce grand corps malade – pour paraphraser notre collègue Neuder –, c'est-à-dire la sécurité sociale et les hôpitaux, la responsabilité est collective.