Vous n'avez pas de majorité : ni absolue, ni relative, ni alternative. Mais cela ne vous empêche pas, sans cesse, de vous arroger le droit de parler comme si le pouvoir vous était volé, comme si vous étiez les détenteurs de la vérité universelle et, pire encore, comme si vous étiez les seuls à pouvoir vous exprimer au nom des Français, au nom des soignants et de celles et de ceux qui souffrent.