Et de six ! Comme une mauvaise farce qui se répète, pour la sixième fois, Mme Borne a engagé la responsabilité de son gouvernement sur un texte budgétaire. Une fois de plus – une fois de trop –, l'exécutif veut museler la représentation nationale. Faut-il rappeler à un gouvernement nommé qu'en faisant taire les députés qui, eux, ont été élus, c'est le peuple que le président Macron refuse d'écouter ?