Où sont par exemple les mesures en faveur de la santé mentale, madame la Première ministre ? Comment pouvons-nous accepter que 30 % des postes de psychiatre demeurent vacants ? Pourquoi organiser des assises de la santé mentale alors que les constats comme les demandes des professionnels sont connus de tous, et qu'il ne reste qu'à agir ? Des 3 millions de personnes qui, en France, souffrent de troubles psychiques sévères, combien en dehors de Paris, et même à Paris, auront accès à un professionnel ? Où sont les moyens associés à la stratégie nationale de lutte contre l'endométriose annoncée avec tambours et trompettes, il y a moins d'un an, par le Président de la République ? À l'heure où nous constitutionnalisons l'IVG, où en sont la revalorisation salariale des sages-femmes…