Prenons l'exemple de mon département, madame la Première ministre. Il compte cinq CPTS. Une marche formidablement bien ; trois, quoique bien avancées, n'ont pas encore atteint leur rythme de croisière ; la dernière est en constitution. J'ai réussi, avec d'autres, à mobiliser dix praticiens dans ce territoire où la présence médicale est très faible, pour qu'ils acceptent les soins non programmés. Eh bien, ils ne le pourront pas avant deux ou trois ans.