Ces quelques paroles de « Barayé », cette chanson devenue un symbole du peuple qui se soulève, me bouleversent : même si nous ne parlons pas la même langue, le langage de l'espoir et de la liberté est universel. C'est celui de la sororité, de la fraternité, de l'humanité, qui nous rassemblent aujourd'hui. Je salue la nécessaire résolution que propose notre collègue Hadrien Ghomi ; je le remercie pour son engagement et cette initiative.
Le 31/01/2023 à 19:22, Aristide a dit :
Pendant ce temps là, le centre culturel d'Iran dans le 6ème à Paris est toujours ouvert. Est-ce cela lutter contre le régime iranien ? Les filles iraniennes violées en prison attendent autre chose que des discours mous de la France, elles veulent des actes forts.
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