Ce n'est pas une question d'honnêteté et je ne suis pas la représentante du Gouvernement ; je parle en tant que parlementaire. J'ai auditionné plusieurs ministres, dont Jean-Christophe Combe : ils sont bien conscients du problème. Une chose est certaine, on ne peut pas le traiter par un amendement de crédits. Je confirme que beaucoup de ces personnels sont salariés par les départements, qui doivent déjà financer la revalorisation du point d'indice et les premiers Ségur. Il faut revoir les deux conventions de la branche et prendre des mesures concrètes pour la rémunération ; nous irons ainsi vers ce grand soir du médico-social.