Le secteur du jeu vidéo est intégralement privé, d'un bout à l'autre de la chaîne de création ; il n'est donc pas étonnant que les acteurs du secteur voient d'un mauvais œil le secteur public, sous une forme ou une autre, venir s'immiscer dans leurs affaires.
Il est cependant grand temps de se poser des questions, quand on voit que des éditeurs de logiciels créent des écoles de formation, à plusieurs milliers d'euros l'année, où les étudiants sont formés à la manipulation de leur seul logiciel. Il convient aussi que l'État se demande comment accompagner la création et faire en sorte qu'elle reste en pointe.