Les financements ouverts par le contentieux de cette semaine ne peuvent servir que de nouveaux projets territoriaux et non les dépenses de fonctionnement et d'investissement actuelles des associations.
L'abondement que nous demandons doit servir à mieux identifier des polluants émergents, qui ne sont pas encore référencés et ne peuvent donc pas donner lieu au versement de financements couverts par le budget. Par ailleurs, les Aasqa les plus fragiles se trouvent dans les collectivités elles-mêmes les plus fragiles financièrement. Un abondement de l'État permettrait de garantir une plus grande équité.