La direction générale de la prévention des risques nous a fait part de son inquiétude : elle doit tenir l'objectif d'une augmentation de 50 % des inspections des installations classées pour la protection de l'environnement alors que les effectifs de ses inspecteurs n'augmentent, me semble-t-il, que de 3 %. C'est impossible. Dans ma région, qui est truffée de sites à risques, nous subissons encore les conséquences sanitaires et psychologiques de l'incendie de l'usine Lubrizol. Augmenter le nombre d'inspecteurs est une urgence.