En fait, en écoutant les débats sur cette question depuis quelques mois, je suis frappée par une certaine hypocrisie. L'hypocrisie de ces députés qui sont prêts à voter contre une meilleure garantie du droit à l'IVG, simplement parce qu'ils et elles savent très bien que si ce droit est un jour menacé, ce ne sont pas eux ni leurs proches qui auront à en subir les conséquences.