ainsi que les élus, notamment le maire de la commune, M. Henri Flohr et son conseil municipal, sans oublier le soutien sans faille du haut-commissaire de la République M. Éric Sptiz, ainsi que les services du gouvernement de la Polynésie.
Aujourd'hui, je souhaite, par considération tant pour la douleur des familles que pour celle de nos compatriotes de l'ensemble de la Polynésie, exprimer humblement cette émotion au sein de notre hémicycle, car il n'y a point, à mon sens, de plus grand hommage que celui qui puisse être rendu au cœur même de notre démocratie. Liberté, égalité, fraternité, telle est la devise de la République française ! Je voudrais terminer mon intervention en déclarant que je suis fier que les Polynésiens aient fait preuve durant dix jours d'une admirable fraternité !
Mauruuru. Te aroha 'ia rahi. Merci et salutations.