Un amendement adopté en commission au Sénat a modifié le rapport annexé à l'article 1er de manière à réclamer « une meilleure répartition » géographique des moyens aériens dans la lutte contre les incendies.
La Nouvelle-Aquitaine a été victime cet été d'incendies sans précédent. Très vite, il est apparu qu'il manquait des moyens aériens en mesure d'intervenir rapidement : les plus proches étaient situés à Nîmes. Une meilleure répartition va donc dans le bon sens.
Les moyens aériens peuvent également servir à détecter les incendies. Des solutions existent pour ne plus revivre ces mégafeux. Certaines sont efficaces et peu coûteuses, comme l'utilisation d'ULM. Le projet de loi doit permettre de soutenir de telles initiatives et de les intégrer rapidement.