Je crois au dialogue social, d'autant plus qu'il existe une convention collective nationale des entreprises d'aides, de l'accompagnement, des soins et des services à domicile. Nous voulons, bien évidemment, protéger le pouvoir d'achat de ces salariés mais il ne me semble pas que nous devions, à l'occasion de la réunion de notre commission saisie pour avis, nous substituer aux partenaires sociaux, a fortiori en imposant une mesure salariale dont nous ne connaissons pas les conséquences pour l'équilibre économique de ces entreprises.
Je vous invite à retirer votre amendement ; à défaut, j'y serai défavorable.