Monsieur le ministre, cet amendement, comme les précédents, montre que vous avez travesti la réalité en reprochant aux élus de la NUPES de ne pas s'intéresser au bien-être des policières et des policiers. Je regrette vos avis défavorables, comme mes collègues – même si je n'ose imaginer que vous en émettrez un sur la présente demande de rapport.
Nous pouvons être en désaccord sur la politique à mener, mais ne nous prêtons pas les uns aux autres de fausses intentions. Selon nous, les violences policières et les problèmes systémiques découlent d'une mauvaise politique qui est menée. Cet amendement prouve que nous voulons protéger les policières et les policiers des risques psychosociaux et des suicides, autant de fléaux dont aucun élu sur ces bancs ne peut se satisfaire.