Il vise à insérer un alinéa que prévoit que tout policier et tout gendarme doivent pouvoir obtenir un entretien avec un psychologue, y compris indépendant, dans un délai raisonnable.
La situation actuelle n'est pas satisfaisante, pour plusieurs raisons. J'en citerai seulement deux. La première est le manque d'effectif, même si nous saluons la création de vingt-neuf postes annoncée dans ce rapport. D'autre part, la discrétion souhaitée par les agents peut constituer un facteur bloquant.