Un décret pris en 2013 imposait de rendre visible le référentiel des identités et de l'organisation (RIO) ; or, dans les faits, il ne l'est pas. Je l'ai dit au début de nos débats : pour pacifier les relations entre la police et la population, ce qui serait bénéfique pour l'une comme pour l'autre, ces RIO doivent être visibles, ce qui faciliterait la contestation de certains gestes et donnerait à l'action de nos policiers une transparence assumée qui leur serait, là encore, favorable.