Monsieur le député, j'ai bien écouté votre intervention – celle où vous vous exprimiez en latin –, et je ne vous ai pas entendu dire que vous pensiez aux policiers et aux gendarmes blessés par des black blocs ou par des manifestants très violents. Selon vous, ils sont pratiquement victimes du ministre de l'intérieur ! Vous avez en effet affirmé que c'est le schéma actuel du maintien de l'ordre qui avait conduit à ce que des policiers soient blessés – un peu comme s'ils s'étaient blessés eux-mêmes… Vous n'êtes pas raisonnable. Cela fait cinq jours et cinq nuits que nous discutons, et vous n'avez pas un mot pour les policiers et pour les gendarmes.