Les amendements de Inaki Echaniz pour ce dossier
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Dans la même logique, il s'agit de s'assurer que des partenariats sont développés entre les établissements scolaires, l'État et les régions.
Il devrait plaire non seulement à notre collègue Genevard, parce qu'il ne reprend pas le terme de genre, mais renvoie plutôt à la notion d'égalité entre les femmes et les hommes, mais aussi à M. le ministre, parce qu'il n'évoque pas les lycées agricoles, mais les filières de formation. L'amendement renvoie au débat de la semaine dernière, en vi...
…dans chaque filière, pour renforcer une présence féminine parfois trop faible. Et j'insiste sur ce point : nous ne reprenons pas le terme de genre, critiqué par Mme Genevard la semaine dernière, mais nous parlons bien des hommes et des femmes.
À l'école, au collège, au lycée général et technologique, les élèves ont la possibilité de suivre leur cursus en basque, en breton, en occitan, en alsacien, en corse, sous forme bilingue ou immersive, dans le public, dans le privé ou au sein d'une association.
C'est vrai de l'école maternelle au lycée, sauf dans l'enseignement agricole. Pourtant, ces langues territoriales existent ; elles sont au cœur du système agricole dans les territoires. C'est un outil de transmission et de formation par les pairs très utilisé. Les lycées agricoles, par l'intermédiaire de leur direction, de leurs élèves ou de l...
Cela peut faire sourire certains qui trouvent que ce débat n'a pas lieu d'être, mais il s'agit d'une vraie demande des territoires et des lycées agricoles. Que ceux qui se moquent des langues territoriales viennent écouter dans les territoires la volonté des élèves et des familles qui souhaitent faire vivre nos langues, comme le dit M. Le Fur. ...
Je prolongerai le propos de M. Taupiac, tout en confortant M. le ministre dans son rôle central pour l'enseignement agricole. Notre amendement vise à signifier que les établissements scolaires entretiennent un lien avec l'État et la région, au sein d'un plan tripartite. Les régions se trouvant au cœur des politiques agricoles, de formation et d...
…pour une bonne raison. Hier, à l'issue de longs débats sur le pastoralisme, nous avons réussi, grâce au collègue Descoeur, à faire voter un amendement qui a permis de le faire entrer dans le texte, à l'article 1er – et c'est heureux, car il en était jusqu'alors absent. À l'article 3, je souhaite que nous confirmions notre attachement au pastor...
Cet amendement vise à permettre l'intervention de la Mutualité sociale agricole (MSA) dans les lycées agricoles pour y dispenser une formation à la protection sociale et aux droits qui y sont rattachés. Lors de nos travaux en commission, vous m'avez répondu, monsieur le ministre, qu'une telle disposition n'était pas nécessaire, puisque la MSA ...
Je serai présent la semaine prochaine, monsieur le ministre, mais pour que l'examen des amendements progresse et pour Michel Rocard, je retire cet amendement.
Je profite de cet amendement pour remercier tous les collègues qui, hier, ont voté l'amendement à l'article 1er sur la nécessaire préservation des races locales. Monsieur le ministre, je suis à votre disposition pour continuer le travail, quitte à replacer le présent amendement là où cela vous semblera le plus cohérent.
Par l'amendement n° 2370, nous souhaitons consolider le vote d'hier et inscrire le principe de préservation des ressources génétiques locales dans le cadre de la formation.
Monsieur le ministre, nous vous avons tendu la main ; nous avons joué le jeu en accélérant, en retirant des amendements et en abrégeant nos défenses pour éviter l'effet litanie. Mais je ne vois pas en quoi cet amendement diffère des nôtres !
Je lis qu'il tend à « maintenir des enseignements relatifs à des filières ayant pu être oubliées ou réalisées à l'étranger ». En quoi est-ce plus utile que notre amendement sur le pastoralisme ?
Nous vous avons fait confiance, nous avons accepté de mettre de côté nos propositions portant sur des sujets spécifiques pour respecter le statu quo, et vous vous déclarez favorable à un amendement relatif aux filières oubliées, quand nos propositions, équivalentes, finissent à la poubelle ! Pour la peine, je vais sous-amender l'amendeme...
Monsieur le ministre, vous avez dit tout à l'heure que tout le monde avait compris d'où je venais. Eh bien, là d'où je viens, on est têtu et quand on se sent trahi, on va jusqu'au bout. Nous avons pour coutume de dire Hitza hitz, c'est-à-dire : « La parole, c'est la parole » – et la parole d'un Basque ou d'un Béarnais, ça se respecte.