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Christian Baptiste et moi-même sommes fiers de vous présenter les crédits de la mission "Outre-mer" , en cette Journée internationale de la langue et de la culture créoles. Nout kiltir, nout kozé, nout lidantité, nout gayar !
... modestes d'entre elles. Ils permettront de construire des logements locatifs sociaux, d'améliorer le parc existant et de résorber l'habitat insalubre. Deuxièmement, ce budget vise à contribuer à la création de valeur sur chaque territoire avec, notamment, le doublement des moyens en faveur de la diversification agricole. Ils doivent être salués au regard de la contribution du ministère de l'agriculture pour renforcer la production locale et améliorer l'autonomie alimentaire des territoires ultramarins, qui est fondamentale. Le groupe Horizons est particulièrement attaché aux deux derniers axes prioritaires. Troisièmement, le renforcement de l'ambition républicaine pour et grâce aux habitants des territoires. Nous saluons l'augmentation de 35 millions des crédits de paiement dédiés au SMA qui ...
L'avenir, monsieur le ministre délégué, ne peut avoir l'architecture d'une caserne : il doit avoir celle d'une université, de services publics de proximité, de lieux de culture et de vie artistique, d'un environnement enfin protégé de ce qui le détruit, le pollue et apporte les maladies et les risques. Comment peut-on tenir la promesse républicaine quand vous passez à côté des grands défis d'avenir pour les territoires ultramarins, comme ceux de la souveraineté énergétique et alimentaire ou encore du vieillissement ? Alors, comme pour tous les volets de ce budget, vou...
Il est temps pour la Guyane de bénéficier des retombées du marché du carbone. En définitive, cet insuffisant projet de budget pour 2023 doit prendre en compte l'enclavement, la cohérence géographique, les réalités démographiques, historiques et culturelles.
...és socio-économiques que l'on pourrait qualifier de postcoloniales : taux de pauvreté beaucoup plus important que la moyenne nationale ; manque d'infrastructures ; problèmes d'accès à l'eau potable, en particulier à Mayotte et en Guadeloupe ; toute-puissance des monopoles, responsables de la vie chère ; concentration de la propriété foncière ; non-reconnaissance de nos langues et de nos identités culturelles ; exil de notre jeunesse. Face à ces problèmes de fond, qui ne datent pas d'hier, l'État central a toujours alterné entre compréhension sur la forme et répression sur le fond ,