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Interventions sur "poutine"

37 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

... désirs de conquête. Aucune négociation ne le ferait, aucune solution diplomatique, aucun accord, aucun traité ; ni la Charte des Nations unies, ni l'Acte final d'Helsinki, ni la Charte de Paris, ni le mémorandum de Budapest, ni les accords de Minsk. C'était l'époque où d'aucuns, à l'extrême droite de ces bancs, cultivaient la compromission en se faisant photographier avec leur bailleur de fonds, Poutine. Voilà le vrai visage du Rassemblement national – il n'a pas changé.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

...es au premier hiver de la guerre, qui le fit baptiser du terrible nom de Rolodomor – une extermination par le froid, en référence à l'extermination par la faim que fut l'Holodomor ; d'innombrables actes de torture, exécutions extrajudiciaires, crimes de masse, viols ; l'anéantissement de la culture et de la langue ukrainiennes, la déportation de 20 000 enfants en Russie. Voilà la guerre menée par Poutine contre l'Ukraine et la liberté. Cette guerre au visage sanglant, c'est la guerre déclarée par Vladimir Poutine à l'Europe. C'est le plus brutal visage d'un régime qui porte en lui les nuées de l'impérialisme tsariste et du totalitarisme soviétique contre le modèle de société que nous, Européens, avons construit. Les Françaises et les Français doivent se rappeler chaque jour que le pouvoir du Kre...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

Voilà pourquoi nous soutiendrons, pour eux, pour nous, son effort de guerre et l'envoi des armes nécessaires à sa défense, jusqu'à sa victoire. Chacun le sait aujourd'hui, la paix durable entre les nations, la paix définitive en Europe nous échapperaient si devaient survenir la défaite de l'Ukraine et la victoire de Poutine. Or, force est de constater aujourd'hui que l'Ukraine peut perdre la guerre. Son offensive de l'été n'a pas eu le succès escompté et la situation est extrêmement difficile sur plusieurs points de la ligne de front. Les armes sont insuffisantes et les munitions viennent désormais à manquer pour faire face aux bombardements des Russes, dont la puissance de feu est infiniment supérieure. Les canons ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

Le président Macron a, en définitive, moins inquiété Vladimir Poutine que nos alliés eux-mêmes, qui se sont désolidarisés de ses propos, et les Français, qui les ont largement réprouvés. Je crois nécessaire, monsieur le Premier ministre, que vous disiez clairement devant la représentation nationale que cet accord ne prévoit en aucune manière l'envoi de troupes combattantes.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

Je le dis encore : il ne faut offrir à Poutine aucune victoire et surtout pas celle de la division des alliés européens. C'est ensemble et unis que nous sommes forts.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Marcangeli :

...ur nous l'occasion de dresser le bilan de l'action de la France et de la communauté internationale en faveur de l'Ukraine, mais aussi de rappeler l'absolue nécessité de l'engagement de la France, sous l'impulsion du Président de la République. Je parlais il y a quelques instants de l'exigence de vérité. La vérité, c'est que nous ne savons pas quelle sera la prochaine étape. La Russie de Vladimir Poutine ne reconnaît aucune frontière et n'a que mépris pour le droit international ; elle n'a aucune limite et ne donne aucune garantie. La vérité, c'est qu'il nous faut renforcer davantage, dans les mois et les années à venir, notre soutien militaire à l'Ukraine. Le conflit va durer ; aujourd'hui, rien n'indique qu'il pourra trouver une issue à court terme. La vérité, c'est que la guerre est en Europe ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCyrielle Chatelain :

Après avoir appelé, dans les premiers mois du conflit, à « ne pas humilier la Russie », Emmanuel Macron semble désormais aveuglé par son désir d'adopter le même langage que Vladimir Poutine : il répond à ses élucubrations guerrières par une rhétorique belliciste ; il répond à un dirigeant qui se veut imprévisible et cruel en se mettant en scène en chef de guerre prêt à tout ; il répond à sa violence sans limites par la mise en scène d'une combativité théâtralisée. Cela revient à mettre le doigt dans un engrenage dangereux et surtout inefficace. En effet, nous ne ferons pas peur au ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFabien Roussel :

Il y a quasiment deux ans jour pour jour, je dénonçais ici devant vous, au nom de mon groupe et des députés communistes, l'offensive criminelle lancée par le nationaliste Poutine, en violation de toutes les règles du droit international. Dans cette guerre, il y a bien un agresseur, Vladimir Poutine, et un pays en situation de légitime défense, l'Ukraine, qu'il faut soutenir. C'est pourquoi nous avons voté en novembre 2022 la résolution soutenant l'Ukraine et condamnant la guerre lancée par la Russie. Depuis, notre position n'a pas changé : non, la Russie ne doit pas gagn...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Pancher :

... que le peuple français souhaite avant tout le maintien de la paix et de la sécurité internationale, la France soutient l'Ukraine depuis deux ans. Ce soutien ne se tarira pas. Notre attention ne sera pas détournée. Notre position ne changera pas. Le groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires soutiendra toujours le peuple ukrainien face à l'agression du régime autoritaire de Vladimir Poutine. Nous nous joindrons à toute action politique qui permettra à l'Ukraine de retrouver sa pleine souveraineté, à l'intérieur de ses frontières internationalement reconnues. Nous ne sommes ni bellicistes ni naïfs ; nous savons que Poutine ne représente pas les aspirations du peuple russe et que sa fuite en avant, comme celle de tout autocrate, est un moyen de maintenir son joug sur le pays qu'il di...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Pancher :

Le Président de la République aura tout de même tardé à assumer sa fermeté, après avoir tenté jusqu'au bout de négocier avec Poutine, frôlant parfois même l'humiliation. Sa position est désormais clarifiée, ce qui est une bonne chose. Alors que se profile à l'horizon une possible réélection de Donald Trump, il s'agit plus que jamais de mettre enfin en œuvre l'autonomie stratégique européenne. Nous considérons également que dire c'est bien, mais que faire, c'est mieux. Nous pensons à nos engagements trop réduits en matière d'a...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSylvain Maillard :

...puis deux ans, l'Ukraine est le théâtre d'une guerre sanglante d'une intensité jamais vue depuis la seconde guerre mondiale. Les morts se comptent par centaines de milliers et ce conflit a déjà engendré plus de 6 millions de réfugiés. Oui, depuis deux ans, la guerre est en Europe, aux frontières de l'Union européenne. Et tout cela par la faute d'un seul et unique agresseur, la Russie de Vladimir Poutine, ce régime qui traque et écrase toute tentative de contestation ou de libre expression. En ce moment, j'ai une pensée pour le courage d'Alexeï Navalny.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSylvain Maillard :

Ce régime russe condamne sa jeunesse à l'exil ou à la mort sur le front ukrainien. Son avidité ne respecte aucune frontière, aucune convention internationale. Vladimir Poutine l'avouait lui-même il y a quelques semaines devant son assemblée fédérale, lorsqu'il proclamait que « l'empire russe ne peut survivre sans guerre ». Chers collègues, ne vous leurrez pas : Poutine a toujours dit ce qu'il faisait et fait ce qu'il disait. Depuis le premier jour de la guerre, la position de notre majorité n'a jamais varié : elle a toujours soutenu le peuple ukrainien. Dès 2022, nous...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarine Le Pen :

Cette sage ligne de conduite semble malheureusement avoir été oubliée. En suscitant, au sujet de l'envoi de troupes au sol, les dénégations de nombreuses capitales, Emmanuel Macron a finalement – et malheureusement – rassuré Vladimir Poutine.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarine Le Pen :

... saviez – un vote unanime sur votre déclaration. Peut-être, cependant, était-ce l'objectif, monsieur le Premier ministre ? Vous parer du lin blanc du camp du bien, et rejeter l'ensemble des oppositions, donc les millions de Français qu'elles représentent, dans le camp du mal ? Les astreindre au choix indigne que vous semblez vouloir imposer : soit on est pro-Macron, soit on est accusé d'être pro-Poutine ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaArnaud Le Gall :

Dans un domaine où le laconisme est la règle, il a créé, au pire moment, la confusion. Puis, le 16 février, l'accord de sécurité entre la France et l'Ukraine a été signé sans débat parlementaire ni information préalable. Ayant condamné, dès le premier jour, l'invasion de l'Ukraine par la Russie de Poutine, nous avons approuvé à ce titre les initiatives de soutien au peuple ukrainien, notamment la cession d'armements – à condition qu'elle n'affaiblisse pas nos propres capacités de défense ; qu'elle n'entraîne pas un risque d'escalade en permettant de frapper en territoire russe ; et que le Parlement soit saisi. Une telle aide peut parfaitement perdurer sans qu'il soit besoin de signer quoi que ce s...