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C'est comme s'ils vivaient dans un monde à part, un monde où le réchauffement climatique n'existe pas. Ils pensent pouvoir vivre au détriment de la planète car ils pensent que l'argent achète tout.
Ils s'imaginent que cet argent les protégera du réchauffement climatique. C'est à nous, législateurs, de les ramener sur terre et de les contraindre à faire attention à la planète que nous partageons tous.
Le dernier rapport du Giec est pourtant clair : pour produire de meilleurs résultats, une politique de lutte contre le réchauffement climatique doit donner la priorité à l'équité, à la justice sociale et à la justice climatique. Nous devons réduire immédiatement et drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre. Pour cela, il existe de nombreuses solutions : privilégier les modes de transport doux, le covoiturage et le ferroviaire.
Nous devons impérativement et drastiquement lutter contre le réchauffement climatique et sauvegarder l'habitabilité de notre terre.
Pour la mobilité avec le ferroviaire, avec la loi « climat et résilience », pour les énergies renouvelables, nous avons fait le job ! Pour l'industrie verte, pour l'économie circulaire, nous avons fait le job ! En matière d'investissements, avec le plan de relance de 30 milliards d'euros et le plan ferroviaire de 100 milliards, ou encore pour la transition écologique, nous avons fait le job !
La France a été condamnée par deux fois pour inaction climatique, notamment à cause de la pollution ; pourtant, elle est devenue l'un des premiers importateurs mondiaux de gaz de schiste américain, cette bombe climatique à retardement.
Prétendre répondre au défi du changement climatique par la seule interdiction de vols en jets privés relève uniquement de l'idéologie. Vous proposez de le faire sans concertation, sans réflexion menée avec le milieu économique et industriel, avec la filière aéronautique française et européenne, qui représente un enjeu important pour nos territoires.
…pour le climat. On vous rappelle encore et encore que les jets privés en France représentent 0,09 % des émissions de gaz à effet de serre. Aussi eût-il été sans doute plus pertinent, pour la première niche du groupe Écologiste – NUPES du quinquennat, de se focaliser sur des sujets dont les effets sont plus importants, afin d'avoir vraiment une action bénéfique pour le climat.
Comment peut-on se réjouir du travail qui est fait, quand la trajectoire actuelle des émissions de gaz à effet de serre conduit à une augmentation de 4,4 degrés en 2100 ? Comment se réjouir du travail qui est fait quand, en 2020, le Haut conseil pour le climat (HCC) soutient que l'État français n'est pas à la hauteur, quand, en 2021, il affirme qu'étant donné le retard accumulé, le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre devra plus que doubler ?
Votre bilan sur le climat, c'est l'inaction. Et l'inaction aujourd'hui, c'est une planète qui ne sera pas vivable demain ! Vous avez un choix simple : interdisez et donnez un signal. Non à la pollution des plus riches !
Dans les trente-six pages du manifeste du Rassemblement national, il y a deux occurrences du mot « climat », aucune mention des « gaz à effet de serre », des « trains », ni même des « voitures ». La vérité est que vous n'avez aucune proposition sur les mobilités. Vous n'avez aucune vision sur le climat.
Balayez devant votre porte ! Les écologistes au gouvernement ont été condamnés pour inaction climatique entre 2015 et 2018 !