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Essayons de parler des Jeux olympiques. Notre ambition à tous, c'est de réussir à faire de ces Jeux une grande fête populaire et sportive. Sur le plan organisationnel, cela suppose de veiller à la sécurisation des sites de compétition en Île-de-France et ailleurs mais aussi des fanzones. Nous savons que de nombreuses mesures contenues dans ce projet de loi procèdent à l'adaptation de normes internationales et de règlements européens ...
Je vais revenir, après l'intervention de mon collègue Belkhir Belhaddad avec qui je copréside le groupe de travail chargé du suivi de la préparation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, sur les fanzones. Comme le petit couac qu'a connu la billetterie…
Le texte que nous examinons devait concerner les Jeux olympiques et paralympiques. « Essayons de parler des JO ! » a dit un de nos collègues tout à l'heure. Nous aimerions bien en parler, nous aussi, mais nous constatons malheureusement que le projet de loi ne laisse aucune place ni au sport ni à la question olympique. Pire, il est contraire à l'essence même des Jeux – nous y reviendrons à l'article 12. Parce que les Écologistes ont toujours cherché le compro...
Ma collègue Sandra Regol l'a expliqué : nous nous efforçons de circonscrire le nombre de personnes susceptibles de faire l'objet d'une procédure de criblage. Comme je l'ai déjà évoqué, un premier problème se pose s'agissant du nombre d'opérations de criblage à mener dans le cadre des Jeux olympiques : si l'on se fonde sur la rédaction actuelle de l'article 10, celles-ci sont évaluées à 750 000. Or, au cours de l'année 2022, 760 000 opérations de ce type ont été effectuées au total, tous sujets confondus. En conséquence, comment ferons-nous avec les moyens actuels ? Faudra-t-il se contenter de les appliquer aux seuls événements liés aux JO, en excluant toutes les autres opérations ? Deuxième...
N'exprimant leur opposition que vis-à-vis de la réforme des retraites et n'ayant pas de problèmes particuliers avec les Jeux olympiques, ils pourraient vouloir se porter volontaires.
…des députés de La France insoumise expliquent que tout cela ne sert à rien, puisque dès l'instant où l'on sort du cadre de la loi, il est possible de l'enfreindre sans aucun problème ! Revenons plutôt au cœur de notre sujet et travaillons à l'organisation des prochains Jeux olympiques et paralympiques.
Je le demande donc une nouvelle fois : pourquoi devons-nous légiférer sur des dispositions qui excèdent très largement le temps des Jeux olympiques, voire qui modifient le droit commun, alors que nous devrions parler premièrement de sport, deuxièmement de l'organisation de ces événements qui doivent constituer une fête, et troisièmement de la sécurité dans le cadre des Jeux ? On nous appelle sans cesse à modifier le droit commun ; ce n'est pas possible !
Les journalistes et les lanceurs d'alerte doivent être en mesure de documenter la phase de préparation des Jeux olympiques et paralympiques de 2024 à Paris. Lors d'autres Jeux, à Sotchi par exemple, leur travail a été essentiel, pour éclairer notamment sur les nombreuses dérives et atteintes à l'environnement. Ayons l'humilité de reconnaître que nous avons besoin aussi, chez nous, de gens à même de porter un regard extérieur et de dénoncer, par exemple, le fait que des travailleurs sans papiers sont employés sur les ...
Si des bénévoles, ou plus encore des journalistes, ne troublent pas l'ordre public durant les Jeux olympiques, il n'y a pas de raison qu'ils fassent l'objet d'un criblage.