cosignée par Ségolène Amiot, Rodrigo Arenas, Christine Arrighi, Julien Bayou, Lisa Belluco, Carlos Martens Bilongo, Mickaël Bouloux, Soumya Bourouaha, André Chassaigne, Cyrielle Chatelain, Florian Chauche, Hadrien Clouet, Jean-François Coulomme, Arthur Delaporte, Sébastien Delogu, Inaki Echaniz, Elsa Faucillon, Emmanuel Fernandes, Charles Fournier, Marie-Charlotte Garin, Hubert Julien-Laferrière, Fatiha Keloua Hachi, Julie Laernoes, Charlotte Leduc, Benjamin Lucas-Lundy, Manon Meunier, Stéphane Peu, Sébastien Peytavie, François Piquemal, Christine Pires Beaune, Marie Pochon, Jean-Claude Raux, Sandra Regol, Davy Rimane, Claudia Rouaux, Sandrine Rousseau, Aurélien Saintoul, Eva Sas, Sabrina Sebaihi, Aurélien Taché, Sophie Taillé-Polian, Matthias Tavel & Nicolas Thierry
Mesdames, Messieurs, la présente proposition de loi vise à empêcher la généralisation des cours criminelles départementales, et à mettre fin à leur expérimentation.
proposition de loi Article 1er La loi n° 2021‑1729 du 22 décembre 2021 pour la confiance dans l’institution judiciaire est ainsi modifiée : 1° L’article 9 est abrogé ; 2° Le IV de l’article 59 est ainsi rédigé : « IV – Dans les départements où est en cours l’expérimentation prévue aux II et III de l’article 63 de la loi n° 2019‑222 du 23 mars 2019 de programmation 2018‑2022 et de réforme pour la justice, le terme de cette expérimentation est fixé au 1er janvier 2023. « Les personnes ayant fait l’objet d’une mise en accusation devant la cour criminelle avant le 1er janvier 2023, sans avoir été jugées à cette date, sont renvoyées devant la cour d’assises sur décision du premier président de la cour d’appel. » Article 2 La charge pour...
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette proposition de loi.