cosignée par Franck Allisio, Bénédicte Auzanot, Philippe Ballard, Christophe Barthès, José Beaurain, Christophe Bentz, Pierrick Berteloot, Bruno Bilde, Emmanuel Blairy, Sophie Blanc, Frédéric Boccaletti, Pascale Bordes, Jorys Bovet, Jérôme Buisson, Frédéric Cabrolier, Victor Catteau, Sébastien Chenu, Roger Chudeau, Caroline Colombier, Annick Cousin, Nathalie Da Conceicao Carvalho, Jocelyn Dessigny, Edwige Diaz, Sandrine Dogor-Such, Nicolas Dragon, Christine Engrand, Frédéric Falcon, Grégoire de Fournas, Thibaut François, Thierry Frappé, Stéphanie Galzy, Frank Giletti, Yoann Gillet, Christian Girard, José Gonzalez, Florence Goulet, Géraldine Grangier, Daniel Grenon, Michel Guiniot, Jordan Guitton, Marine Hamelet, Timothée Houssin, Laurent Jacobelli, Catherine Jaouen, Alexis Jolly, Hélène Laporte, Laure Lavalette, Julie Lechanteux, Gisèle Lelouis, Hervé de Lépinau, Katiana Levavasseur, Christine Loir, Aurélien Lopez-Liguori, Marie-France Lorho, Philippe Lottiaux, Alexandre Loubet, Matthieu Marchio, Michèle Martinez, Alexandra Masson, Bryan Masson, Kévin Mauvieux, Nicolas Meizonnet, Joëlle Mélin, Yaël Menache, Thomas Ménagé, Emmanuelle Ménard, Pierre Meurin, Serge Muller, Julien Odoul, Mathilde Paris, Caroline Parmentier, Kévin Pfeffer, Lisette Pollet, Stéphane Rambaud, Angélique Ranc, Julien Rancoule, Laurence Robert-Dehault, Béatrice Roullaud, Anaïs Sabatini, Alexandre Sabatou, Emeric Salmon, Philippe Schreck, Emmanuel Taché de la Pagerie, Jean-Philippe Tanguy, Michaël Taverne, Lionel Tivoli & Antoine Villedieu
Mesdames, Messieurs, Mardi 14 mai 2024, à 11 heures, un fourgon de l’administration pénitentiaire, transportant un dangereux détenu multirécidiviste, est attaqué par des individus lourdement armés.
Trois agents sont grièvement blessés, deux sont tués.
L’un père de famille, le second allait le devenir, ils ont perdu la vie en uniforme, pour la République, pour la France.
Cette évasion soulève des interrogations s’intéressant à une problématique plus globale : la sécurité de nos établissements pénitentiaires.
Car le fugitif Mohamed Amra a eu tout le loisir de préparer son évasion : en détention à la prison de la Santé, il possédait plusieurs téléphones portables.
Il gérait même un réseau de trafic de drogue et de criminels depuis celle-ci.
Pour éviter que de tels drames se reproduisent, il est indispensable d’assurer l’étanchéité de nos prisons au monde extérieur.
Si Mohamed Amra n’avait pas disposé d’un téléphone portable, ou si...
1 commentaire :
Le 13/06/2024 à 16:47, Stéphanie P (Responsable Administrative) a dit :
Comment est ce possible que les détenus puissent posséder des téléphones portables, ou qu'il n'y ait pas de brouilleurs pour les empêcher de communiquer à l'extérieur par ce biais ? En quoi est ce si compliqué à mettre en place ?
Merci
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