Les amendements de Didier Martin pour ce dossier
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Il faut admettre que, dans la pratique médicale, il y a des soins, mais il y a aussi des actes. Je maintiens ce que j'ai dit : l'aide à mourir n'est pas un soin ; c'est un acte qui interviendra après le soin, une fois la médecine au bout de sa science et de son art. Néanmoins, comme l'a indiqué Mme la ministre, cet acte requerra des compétences...
Qui plus est, quand les intéressés ont une mutuelle, c'est la totalité de l'acte qui est pris en charge. Voilà une raison supplémentaire d'inscrire ces dispositions dans le code de la santé publique.