Les amendements de Caroline Parmentier pour ce dossier
6 interventions trouvées.
Notre jeunesse souffre et continue de souffrir. La crise du covid-19 a aggravé ses difficultés économiques, s'agissant aussi bien de leurs possibilités pour se loger que de leur accès à une alimentation suffisante. Depuis, les files d'étudiants devant les banques alimentaires ne désemplissent pas. Elles crèvent le cœur et sont une honte pour no...
En 2020, 43 % des étudiants ont renoncé à un repas quotidien pour des raisons financières. Les témoignages affluent sur les réseaux sociaux : ils sont souvent poignants. Plus de deux étudiants sur cinq ne mangent pas à leur faim parce qu'ils n'en ont pas les moyens. Le statut d'étudiant est l'un des plus précaires. Nous devons lutter contre ce...
Certaines situations sont objectivement différentes. Un étudiant boursier qui connaît de grandes difficultés pour boucler ses fins de mois ne saurait être assimilé à un étudiant dont les parents aux revenus plus confortables subviennent largement à ses besoins. À la question « Peut-on fixer des tarifs différents en fonction de la situation de ...
Les mesures que nous défendons permettraient aux étudiants qui prennent un repas au Crous par jour de réaliser une économie pérenne de 40 euros par mois et à ceux qui en prennent deux, une économie de 80 euros par mois…
…tout en assurant un accès à une alimentation correcte. Les amendements déposés par le Rassemblement national vont dans ce sens.
Nous porterons une attention particulière à l'attitude du groupe Renaissance et de ses alliés, qui ont détricoté la proposition initiale. Pour améliorer la situation de nos étudiants en souffrance, les trois grands groupes de l'Assemblée nationale, Renaissance, la NUPES et le Rassemblement national, doivent trouver un terrain d'entente.