Publié le 23 mai 2024 par : M. Bentz, M. Blairy, M. Boccaletti, M. Cabrolier, Mme Colombier, M. Girard, M. Odoul, Mme Pollet, Mme Dogor-Such, M. Guiniot, M. de Lépinau, Mme Hamelet, M. Mauvieux, M. Dessigny, M. Chudeau, Mme Lavalette, Mme Ranc, Mme Jaouen, M. Taché de la Pagerie, Mme Robert-Dehault, M. Jolly, M. Meurin, Mme Martinez, Mme Auzanot, Mme Menache, Mme Blanc, M. Rambaud, M. Grenon, Mme Florence Goulet, Mme Lechanteux, Mme Lorho, Mme Mathilde Paris, Mme Lelouis, M. Guitton, M. Villedieu, M. Muller, M. Frappé, M. de Fournas, M. Giletti, Mme Levavasseur, Mme Laporte.
À la dernière phrase de l’alinéa 11, substituer aux mots :
« l’intervention »
les mots :
« le secours »
"Depuis plus de quarante ans, écrit le Dr Alix de Bonnières dans "La Fin de vie apaisée - La sédation profonde et continue en questions" (2021), [les soins palliatifs] cherchent comment écouter l’homme souffrant, comment aider à vivre à l’ombre de la mort. Depuis plus de quarante ans, pour mieux soulager, ils ont suivi toutes les pistes : la médecine, la philosophie, l’anthropologie ou la pharmacologie [...]. C’est notre métier à nous soignants des équipes de soins palliatifs."
Cette définition est celle d’un secours aux malades plus que d’une intervention dont la neutralité rend insuffisamment compte du travail accompli.
Tel est le sens du présent amendement.
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