Publié le 9 juin 2023 par : M. Habert-Dassault.
À l’alinéa 19, après le mot :
« premier »,
insérer les mots :
« ou de deuxième ».
Il convient que le directeur général de l’ARS s’intéresse aussi à améliorer l’accès aux soins de second recours (cardiologue, gynécologue, pédiatre, dermatologue…), à l’heure où la ruralité et les petites villes connaissent aussi une pénurie de médecins spécialistes.
Une récente étude de l’UFC-Que choisir sur les difficultés d’accès aux soins souligne que 47,6 % des habitants du département de l’Oise rencontrent des difficultés d’accès à un généraliste à moins de 30 minutes de leur domicile. La situation n’est pas enviable lorsqu’il s’agit d’un spécialiste : 45,6 % des parents ont des difficultés à accéder à un pédiatre, 36,7 % des femmes à un gynécologue et 32,6 % des habitants du département n’arrivent pas avoir un rendez-vous chez un ophtalmologue.
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