Publié le 21 novembre 2022 par : Mme Galzy, M. Berteloot, M. Blairy, M. Cabrolier, M. Chenu, Mme Dogor-Such, Mme Loir, Mme Martinez, M. Meizonnet, M. Taché de la Pagerie.
Rédiger ainsi les alinéas 2 et 3 :
« 1° À la fin de la première phrase du onzième alinéa de l’article 521‑1, les mots : « lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée » sont supprimés ;
« 2° À la fin de la première phrase du second alinéa de l’article 522‑1, les mots : « lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée » sont supprimés . »
Cet amendement vise à permettre la découverte de la corrida à l’ensemble des Français.
C’est un fait, les Français qui ne vivent pas dans les territoires où la tauromachie est pratiquée ne connaissent pas la corrida. Ils ont un point de vue déformé par la propagande antispéciste : torture, boucherie, barbarisme ou autres qualificatifs péjoratifs, ignobles et insupportables dans lesquels le monde taurin ne se reconnait pas.
Afin de faire découvrir cet art véhiculant des principes philosophiques et esthétiques forts – passionnant des millions d’hommes, de femmes et d’enfants – à ceux qui le méconnaissent, il faut que la corrida puisse aller vers les Français des territoires non taurins.
Cet amendement propose donc de mettre fin aux restrictions géographiques pour l’organisation des courses de taureau.
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