Publié le 22 mai 2024 par : Mme Lorho, M. de Lépinau, Mme Grangier, M. Blairy, Mme Dogor-Such, M. Odoul, Mme Pollet, M. Dessigny, Mme Hamelet, Mme Loir, M. Frappé, M. Rambaud, Mme Jaouen, Mme Lavalette, M. Mauvieux, M. Guiniot, M. Cabrolier, Mme Menache, Mme Auzanot, Mme Bordes, M. Jolly, Mme Martinez, M. Meurin, M. Taché de la Pagerie, Mme Robert-Dehault, M. Boccaletti, M. Grenon, Mme Lechanteux, Mme Mathilde Paris, M. Guitton, M. Villedieu, Mme Levavasseur, Mme Lelouis, M. Muller, Mme Engrand, Mme Parmentier, M. Meizonnet, M. Giletti, M. Bovet.
À la fin de la seconde phrase de l’alinéa 12, substituer aux mots :
« que cela est de nature à préserver la dignité́ de ce dernier telle que celui-ci la conçoit ».
les mots :
« que la demande est légitime ».
Il n’est pas possible de préserver la dignité en légalisant le recours au suicide assisté et à l’euthanasie. L’objet du présent amendement entend donc y remédier pour que cette conception dégradante de l’être humain ne puisse pas être inscrite dans la loi.
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