Publié le 22 mai 2024 par : M. Ménagé, Mme Auzanot, M. Bentz, M. Blairy, Mme Blanc, M. Chenu, Mme Da Conceicao Carvalho, M. de Lépinau, Mme Dogor-Such, M. Frappé, M. Gillet, Mme Grangier, Mme Lavalette, Mme Lechanteux, M. Lottiaux, M. Meurin, Mme Jaouen, M. Rambaud, Mme Robert-Dehault, M. Schreck, M. Taché de la Pagerie.
À la dernière phrase de l’alinéa 9, après le mot :
« psychique »
insérer les mots :
« et psychologique ».
L'ajout des mots « ou psychologique » permet de préciser et de clarifier le type de souffrance pris en compte par la loi. Bien que les termes « souffrance psychique » et « souffrance psychologique » soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils peuvent avoir des connotations différentes comme l'a par ailleurs reconnu le Conseil économique, social et environnemental (Cese) dans d'autres circonstances, particulièrement à l'occasion de la Convention citoyenne sur la fin de vie.
La souffrance des patients en fin de vie n'est pas uniquement d'ordre physique ou psychique ; elle peut également être psychologique, impliquant des aspects tels que la détresse émotionnelle, l'anxiété ou la dépression. Cet amendement vise donc à renforcer les droits des patients en garantissant que toutes les formes de souffrance sont prises en compte.
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