Publié le 4 mai 2023 par : M. Blanchet, M. Bru, M. Cubertafon, M. Lainé, Mme Lingemann, Mme Poueyto, Mme Thillaye.
A l'alinéa 64, après les mots « haute intensité. », ajouter les mots suivants :
« Sans obérer l’entraînement en conditions réelles, le recours à la simulation sera renforcé et mieux intégré à l’entraînement opérationnel des forces. »
Au sein de l’Armée de Terre, seuls 40 % des régiments de mêlée de l’armée de Terre sont considérés comme entraînés au standard opérationnel le plus élevé. Concernant l’Armée de l’Air, l’entraînement du personnel navigant dépend fortement de la disponibilité des appareils, des moyens concourant à l’activité (pistes, radar, espace aérien, etc.) et du volume d’entraînement, en heures de vol, qu’il peut réaliser.
Le présent amendement propose comme solution à ce problème le recours à un nombre plus important de simulateurs, afin de garantir une préparation opérationnelle suffisante aux militaires concernés. Ces simulateurs devront correspondre aux derniers standards opérationnels pour que l’entrainement délivré soit le plus réaliste possible.
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