Les amendements de Charles de Courson pour ce dossier

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C'est M. Véran qui devrait venir parler de cette affaire au lieu de M. Darmanin, car le problème est celui du taux de remboursement, qui représente à peu près le tiers du prix de revient. Pour avoir été président du SDIS de mon département durant vingt-cinq ans, je sais que le ratio est environ d'un à trois. Ce n'est pas acceptable. Pour un SDI...

Ce point est donc encore plus important que la requalification a posteriori – à laquelle je suis du reste favorable. Dans le texte dont nous discutons, la carence ambulancière est définie par le 15, le SAMU, qui est donc juge et partie : voilà ce qui ne va pas. Nous avons eu avec le CHRU – centre hospitalier régional universitaire – de ...

Je tiens à dire à ma jeune collègue que je n'ai absolument pas opposé les uns aux autres. En effet, l'autre problème, si vous connaissez bien la situation des ambulanciers privés, avec qui j'en ai longuement parlé, est qu'ils bouffent leur chemise, notamment les nuits et les week-ends, et que le tarif de remboursement que leur applique la sécur...

…124 euros, donc, pour un prix de revient qui se situe autour de 350 ou 400 euros. D'autres collègues qui ont été présidents ou membres de conseils d'administration de SDIS peuvent attester que le prix de revient n'a rien à voir avec ce montant de 124 euros.

Mais il ne l'est pas du tout ! Vous créez, et c'est très bien, une disposition qui n'existait pas dans le texte de la commission : l'accès gratuit aux infrastructures routières et autoroutières pour les véhicules de secours en intervention. C'était déjà le cas sur les autoroutes, grâce à des conventions signées avec les concessionnaires, mais ...