Les amendements de Sophie Taillé-Polian pour ce dossier

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Le groupe Écologiste, comme de nombreux autres, est partagé. Pour ma part, je considère que nous ne pouvons laisser de côté la volonté de patients qui n'ont plus aucune possibilité, par exemple en raison d'un accident imprévisible, d'en réitérer l'expression. La sédation profonde et continue n'est pas la même chose que l'absorption d'un produit...

si c'était le cas, nous n'aurions pas besoin de légiférer à nouveau. Le choix entre sédation et aide à mourir doit être celui du patient ; c'est la raison pour laquelle je soutiendrai ces amendements, même si je rejoins nos collègues au sujet de la nécessité d'encadrer ce dispositif lors de l'examen de la suite du texte.