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Les amendements de Pierre Meurin pour ce dossier

17 interventions trouvées.

Nous, nous défendons, chers collègues de gauche, le droit des familles à rejoindre leurs proches pendant les vacances sans pâtir de l'annulation de leur vol. Nous défendons aussi la liberté de circulation. Au sein des classes populaires, beaucoup prennent des billets low cost pour rejoindre leur famille. Le délai minimal de quarante-hui...

Nous avions affaire à une unique exception en matière de droit de grève. Il était donc tout à fait légitime d'harmoniser la réglementation, mais c'est comme d'habitude avec la gauche : quand il s'agit de défendre le droit à la paresse, vous êtes toujours au rendez-vous ! Nous, nous sommes pour la France du travail !

Ce débat est caricatural. Je rappelle que le droit de grève a toujours été l'objet d'encadrements, qu'il s'agisse de plages horaires ou de service minimum, voire d'interdictions – les militaires n'ont pas le droit de faire grève pour des raisons évidentes de sécurité nationale. Vous, à gauche, voulez un droit de grève qui aboutisse à l'anarchie...

Avec la gauche, je le répète, c'est l'anarchie généralisée dans notre pays. Et votre réaction à ce texte, si modeste soit-il, est une bonne illustration de ce que vous incarnez régulièrement depuis le début de cette législature. Certes, le droit de grève a valeur constitutionnelle, mais il n'est pas illimité, chers collègues, puisqu'il est enc...

Mon intervention se fonde sur l'article 70, alinéa 3, pour mise en cause personnelle. J'ai en effet été, en tant qu'orateur du groupe Rassemblement national, interpellé par les députés du groupe Les Républicains – qui sont peu nombreux, comme d'habitude, dans l'hémicycle – et par la gauche. À aucun moment je n'ai remis en cause le droit de grève.

Le but de ce texte que nous soutenons est d'harmoniser ce droit et donc de mettre fin au régime dérogatoire des contrôleurs aériens.

C'est étrange car, tout à l'heure, une collègue du groupe Les Républicains a prétendu que nous mettions en cause le droit de grève.

…pour une raison très simple, qui fait appel au bon sens : nous souhaitons une harmonisation entre le régime de grève des contrôleurs aériens et les autres. Aussi, ne nous faites pas de procès d'intention.

J'ajoute que, tout à l'heure, je n'ai pas assimilé la grève à la paresse. En revanche, j'assume d'assimiler l'ensemble des bancs de la gauche à la paresse et à l'anarchie – je vous le concède bien volontiers.

Ce débat est absolument caricatural et c'est assez terrible pour notre assemblée. À gauche, la logique est simple : il faut supprimer l'aviation parce qu'elle pollue – en gros, il ne faut plus d'avions…

Je vous proposerai de faire un petit retour en arrière, chers collègues de gauche. Au XIXe siècle, nous avons construit des centrales à charbon. Cela a probablement provoqué des cancers mais, au moins, on a arrêté de mourir de froid dans ce pays. Comprenez qu'il n'y a pas de risque zéro aux activités humaines ! Doit-on céde...

Ce qui est bien, avec vous, c'est que dès qu'un problème se pose, il faut tout arrêter. Mais regardez vos vêtements ou vos modes de transport ,

regardez tout ce que vous utilisez dans votre vie quotidienne : votre impact carbone est majeur. Arrêtez donc tout de suite vos déplacements. D'ailleurs, arrêtez de venir à l'Assemblée nationale : ça nous fera des vacances !

Aujourd'hui, 51 % de nos émissions de gaz à effet de serre proviennent de nos importations. Et dans votre logique, chers collègues de gauche mondialistes, vous ne vous attaquez jamais à ce problème,…

…parce que vous n'avez aucune stratégie. C'est bien beau de vous lancer dans vos incantations et de répéter que la Macronie et l'extrême droite avancent main dans la main. En attendant, votre logique consiste à tout arrêter et à faire cesser le progrès humain ; avec vous, la civilisation n'avance plus. Qu'attendez-vous pour vider les bancs su...

Les Français se rendraient probablement vite compte que vous n'incarnez pas du tout le progrès – au bout du compte, vous devriez disparaître politiquement !