Les amendements de Jean-Louis Thiériot pour ce dossier
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« La défense ! C'est la première raison d'être de l'État. Il n'y peut manquer sans se détruire lui-même. » Si je cite ces mots du général de Gaulle qui ornent les murs de notre commission de la défense, c'est pour souligner le caractère essentiel, vital même, de ce budget. Rien de sérieux ne se bâtit sans la sécurité extérieure. C'est à l'ombre...
Nous avons rendez-vous avec le jugement de l'histoire. Avec ceux qui portent les armes de la France aussi. Les mauvaises décisions que nous pourrions prendre ici se paieraient du sang des nôtres. Lorsqu'on examine un budget, on peut toujours voir le verre à moitié plein ou le verre à moitié vide. Le verre à moitié plein, c'est la marche à 3 mil...
Monsieur le ministre, vous avez un défi à relever, le même que celui d'un Pierre Messmer qui, après les guerres coloniales, eut à accomplir le tournant du nucléaire. Le vôtre, c'est celui de la guerre en Europe, et c'est à cette aune que nous mesurerons votre action et que nous déterminerons notre vote sur la LPM. Aujourd'hui, le groupe Les Rép...
Pour la sécurité de la France, pour les hommes et les femmes qui la servent, pour ceux qui l'ont servie – nos anciens combattants, qui ont des droits sur nous –, notre groupe votera le budget de nos armées.
Merci, madame le président. Monsieur le ministre, mes chers collègues, vous savez l'attention que je porte à ce programme Scaf. Comme l'a dit M. le ministre, cette coopération n'a de sens qu'à condition que le Scaf réponde à nos besoins opérationnels, qu'il ne nous coûte pas plus cher que si nous le faisions seuls, qu'il n'aboutisse pas au pill...
Il se fonde sur l'article 100 du règlement. Comme je l'ai dit précédemment, les débats qui se tiennent dans cet hémicycle sont observés avec attention. Vous en convenez vous-même, monsieur Lachaud. Or, quand on est observé, on respecte la parole qu'on a donnée.
Tous les groupes réunis ici se sont accordés pour adopter le rythme d'un amendement par minute, ce qui ne peut fonctionner qu'à condition que le ministre et nous-mêmes soyons concis et que personne ne reprenne la parole après les avis. Nous devons rester sur cette position.
Je partage totalement les propos de mon collègue Millienne sur la dimension ubuesque de ce débat. Le rôle d'un gouvernement, c'est de gouverner.
On ne va pas passer la soirée à débattre de ce sujet. Votons l'amendement, attendons la décision du Conseil constitutionnel et la justice sera bien rendue !