Je tiens en tout cas à le rassurer sur le fait que les préfets n'ont qu'une envie, qu'un besoin, qu'un impératif lors d'une crise : l'efficacité de l'action publique, permettant la résolution rapide du problème et le retour à la normale. Je ne crois donc pas qu'il y ait péril en la demeure.
Je le redis, cet amendement de trois pages est un réel symbole : notre ministre de l'intérieur est à l'écoute du débat parlementaire.