Vous n'avez voté aucun de ces textes, monsieur Bernalicis, et les avez combattus avec la même énergie que vous employez à combattre celui que nous proposons aujourd'hui. Mais c'est une très bonne chose, monsieur Bernalicis, que de reconnaître leur efficacité quelque temps après.
Venons-en ensuite aux refus d'obtempérer. À ce sujet, je voudrais rappeler une évidence, il ne suffit pas de dire que l'on ne veut pas que les policiers meurent lorsqu'il y a refus d'obtempérer – j'espère évidemment que vous ne le souhaitez pas –, il faut aussi rappeler que lorsqu'un policier ou un gendarme vous le demande, il faut vous arrêter !