J'aimerais, messieurs, que vous expliquiez aux personnes qui subissent des outrages sexistes dans la rue, au bureau, voire à l'Assemblée nationale – sait-on si cela ne se produit pas parfois ? – la différence entre le jour et la nuit. J'attends vos explications car, pour subir régulièrement de tels outrages, je n'ai jamais vu la différence entre l'un et l'autre. Prétendre que, la nuit, les vampires sortiraient pour nous attaquer davantage ne me paraît pas idéal pour élever le niveau de ce débat.