Franchement, c'est un peu décevant. J'étais à côté de vous en commission, monsieur Bernalicis. À un moment, je vous ai entendu dire : « Il n'y a pas vraiment de quoi s'opposer à ce texte. » Je suis donc assez surpris. Je pensais réellement que nous allions passer une bonne semaine à travailler ensemble à la consolidation des forces de l'ordre et à leur adaptation. C'est en tout cas ce que je retiens des propos du ministre : il est important que les forces de l'ordre s'adaptent, évoluent, et c'est grâce à ce texte qu'elles y parviendront.
Encore une motion de rejet ! Décidément, on pourrait les inscrire à un compteur. À la fin de la législature, le nombre des motions que vous aurez déposées sera probablement hallucinant. Car vous, c'est le rejet sur tout, le rejet tout le temps !