Vous avez dit des choses grotesques – pardon pour ce terme, mais j'emploie votre propre vocabulaire. Vous prétendez ainsi que, face aux délinquants, il ne faut pas des forces de l'ordre, mais des gardiens de la paix. Y compris pour la délinquance économique et financière, en col blanc ? Nous pensons pour notre part que, face aux délinquants, il faut de la puissance d'État et un État de droit, et nous nous employons à les raffermir avec la Lopmi.
Vous affirmez qu'avec les 15 milliards d'euros, vous auriez fait autre chose. Mais dans votre amendement tendant à supprimer l'article 2, que nous examinerons peut-être ce soir,…