Comme vous avez renoncé à prendre les problèmes à la racine – et ce n'est pas une grande nouveauté –, vous proposez des solutions qui, malheureusement, sont coûteuses pour l'État. Or, en renonçant à faire payer celles et ceux qui bénéficient aujourd'hui de la crise, ceux qui réalisent des superprofits ou perçoivent des superdividendes, vous renoncez une fois encore à aller prendre l'argent là où il est pour répartir la richesse. Au vu de la situation extrêmement grave à laquelle les Français et les Françaises font face aujourd'hui, le compte n'y est pas. Nous voterons donc contre le texte.