Nous continuerons donc à faire preuve de sérieux s'agissant des dépenses, car c'est ce qui nous permet aujourd'hui de signer des chèques énergie, de soutenir nos universités, comme l'avait préconisé le rapporteur spécial Thomas Cazenave, mais aussi d'affronter l'ensemble des aléas de la gestion budgétaire, comme ceux, massifs, qui touchent le secteur agricole.
Alors que nous arrivons au terme du débat, je voudrais également saluer l'esprit de coconstruction dont nous avons tous fait montre. Les amendements de la majorité en sont une belle illustration, à commencer par celui de Benjamin Haddad, qui nous a tous rassemblés, et qui visait à aider nos frères ukrainiens dans ce conflit qui nous concerne tous.