Cette compétence est confiée aux EPCI et aux régions. Dès lors que ces derniers perçoivent des recettes, il leur revient de gérer leurs investissements, leurs emprunts et le prix qu'ils facturent aux usagers. L'État doit se détacher de ces questions.
Ensuite, augmenter le versement mobilité reviendrait à faire peser un impôt supplémentaire sur les entreprises.