Par ailleurs, votre incapacité à instaurer un bouclier tarifaire sur l'énergie contraint les associations, qui sont des outils majeurs de cohésion sociale dans nos villes, à utiliser les fonds collectés pour leur budget pour régler des dépenses d'énergie ou de fonctionnement. De ce fait, elles consacrent des ressources qui devraient leur permettre de remplir des missions d'utilité publique à nourrir les énergéticiens.
Nous voterons bien sûr l'amendement visant à engager 40 millions d'euros.