Il est identique au précédent. Les associations qui œuvrent au quotidien à cette mission d'utilité publique qui consiste à prendre soin des plus démunis ne demandent pas l'aumône. Il est clair que 200 millions d'euros n'auraient pas été du luxe face aux conséquences de la crise dont vous portez la responsabilité. De quoi s'agit-il en effet ? La mauvaise politique que vous menez…