Comme l'amendement précédent, il a trait à la consommation des crédits consacrés à la formation initiale et continue des enseignants, mais il s'agit ici de ceux du premier degré. Ces crédits étant largement sous-utilisés, il convient de veiller, avant toute augmentation, à ce qu'ils soient intégralement consommés et à ce que chaque enseignant ait accès à une formation de qualité, répondant à ses attentes. Nous devons donc engager une réflexion d'ampleur sur la nécessité d'une programmation pluriannuelle des dépenses de formation en vue d'accompagner les évolutions de l'école du futur.