Les députés écologistes soutiennent cet amendement – ils avaient d'ailleurs déposé un amendement identique – car il leur tient à cœur de soutenir l'investissement dans l'équipement des cantines scolaires et dans la formation des chefs cuisiniers. Le ciblage initialement prévu pour la mesure était trop restrictif et l'enveloppe qui lui était allouée n'a pas été entièrement consommée. La mesure doit être conservée et élargie autant que possible à tous les types de restauration collective.
Soutenir les cantines, c'est lutter contre le gaspillage alimentaire et investir dans les produits durables et la santé des convives. Dans le contexte inflationniste que nous connaissons, nous devons donner à la restauration collective les moyens de s'adapter durablement aux échéances qui lui sont imposées. Les grands défis ne peuvent être relevés sans moyens.