Monsieur le ministre délégué, je souhaite vous interpeller : de nombreux agents publics qui ont répondu à l'appel des préfectures pour effectuer les mises sous pli de la propagande électorale pour les élections présidentielle et législatives – c'était donc en avril, en mai, puis en juin – n'ont toujours pas été payés pour ces quatre week-ends de travail, alors que cela remonte à plus de six mois.